Grupo de Estudios de Historia Actual (HUM-315). Universidad de Cádiz

Mes: mayo 2015 (Página 1 de 2)

Homenaje a los profesores Jorge Benavides y Luis Gonzalo González

Con motivo de la jubilación de dos de los investigadores integrantes del Grupo de Estudios de Historia Actual (GEHA), Luis Gonzalo González y Jorge Benavides Solís, se les ha ofrecido un homenaje en el que ambos profesores han compartido con los asistentes los capítulos más importantes de su fructífera carrera profesional, además de interesantes vivencias personales que dieron paso a un distendido debate entre los presentes.
El acto tuvo lugar el 28 de mayo de 2015, a las 19h30, en la Sala Lequerica del Edificio Constitución 1812 de la Universidad de Cádiz.
Luis Gonzalo González es profesor de la Escuela de Arte de Cádiz, de la que ha sido su director. Asimismo, profesor del Departamento de Ingeniería Mecánica y Diseño Industrial en la Facultad de Ciencias /Ingeniería Química y en Escuela Superior de Ingeniería de la Universidad de Cádiz. Es Profesor Colaborador del CSIC y Profesor Colaborador Permanente de la Universidad Técnica Particular de Loja (Ecuador). Asimismo, es autor de una importante obra artística que llena salas de exposiciones y diversos edificios públicos y privados.
Jorge Benavides Solís es profesor de la Escuela Técnica Superior de Arquitectura de la Universidad de Sevilla, se especializó en la Universià di la Sapienza e ICCROM de Roma. Experto de la Unesco y miembro del ICOMOS, es autor de numerosas publicaciones sobre planeamiento urbano, desarrollo local, patrimonio, historia y cultura. Asimismo, ha ejercido de articulista de opinión en prensa nacional e internacional. Por otra parte, su actividad como conferenciante en foros internacionales ha llenado gran parte de su trayectoria profesional.

Paris 2015: What’s in it for the EU?

En el enlace encontrará el texto completo del artículo Paris 2015: What’s in it for the EU?, de Andrei Marcu, Alexandra Deprez, Susanne Dröge, Liz Gallagher, Artur Gradziuk, Sebastian Oberthür y Thomas Spencer para el Centre for European Policy Studies (CEPS), publicado por ISN ETH Zurich el 19 de mayo de 2015. Este trabajo fue originariamente editado por el Centre for European Policy Studies (CEPS) el 8 de mayo de 2015.

Frontière et Résistances en Péninsule Ibérique

FRONTIÈRE ET RÉSISTANCES EN PÉNINSULE IBÉRIQUE (Espagne-Portugal)
La frontière luso-espagnole et les oppositions anti-salazariste et anti-franquiste:
Résistances, réseaux et solidarités (1926-1950)
Paris, 4 décembre 2015

Journée d’études organisée dans le cadre du projet UPL « Les espaces-temps de la contestation en Péninsule Ibérique »

Appel à communication

Si la frontière en tant que ligne séparatrice entre deux Etats souverains présuppose l’existence d’une zone de contact entre eux, et par conséquent des populations vivant en bordure, elle renvoie également à la relation centre/périphérie, dans laquelle cette dernière surgit comme force centrifuge par rapport au centre, et dont le résultat inévitable de la distance géographique est la distension des liens de contrôle de l’Etat. Les opposition ibériques voient ainsi dans la zone frontalière, c’est-à-dire le territoire qui se place en bordure de la ligne de démarcation et dont l’étendue peut être plus au moins vaste, un espace d’action où elles peuvent mettre à profit la solidarité des populations et les réseaux pré-existants, une surveillance policière plus lâche, et des connivences politiques ou même étatiques. Soutien dépendant des dynamiques locales et de l’évolution de l’histoire interne de l’Espagne et du Portugal.

Les convulsions du XXe siècle portugais ont jeté sur le sol espagnol plusieurs vagues d’exil successives, d’abord monarchistes, ensuite républicaines. La Galice devient après l’instauration de la République portugaise, en 1910, une base-arrière des défenseurs du régime royaliste, où se préparent et d’où partiront les incursions 1911, 1912 et 1919. Peu après, la dictature de Primo de Rivera conduit au Portugal les opposants espagnols, républicains et anarchistes. La frontière  luso-espagnole devient une zone de refuge et de protection, qui ne cessera désormais d’être transposée en fonction des événements internes. Dès février 1927 et jusqu’à la guerre civile espagnole, l’opposition portugaise (républicains, anarchistes et communistes) se réfugie en Espagne et s’établit en zone frontalière au rythme des révoltes fomentées contre la dictature militaire d’abord et l’Estado Novo ensuite et de leur échec. La frontière luso-espagnole devient une nouvelle fois la base-arrière de la résistance portugaise, en particulier après avril 1931. L’évolution de la politique interne espagnole fait du Portugal une terre d’accueil de la droite mécontente, qui s’organisera au Portugal pour renverser la IIe République. Avec la guerre d’Espagne, et la rapide chute de la frontière luso-espagnole aux mains des nationalistes, et postérieurement la victoire franquiste, la résistance en zone frontalière est contrainte à s’adapter à une nouvelle réalité, celle de l’existence simultanée d’un régime de dictature en Espagne et au Portugal. Les oppositions ibériques sont alors contraintes à s’adapter à cette nouvelle réalité et en zone frontalière, la résistance reposera davantage sur la solidarité des populations transfrontalières.
Cependant, l’importance assumée par la région frontalière dans la survie des oppositions ibériques présente un décalage chronologique. Pour l’opposition portugaise, la frontière représente une zone de repli et une base-arrière d’action jusqu’en août de 1936, après quoi s’opère un déplacement vers l’intérieur du pays d’autant plus que les communications avec l’extérieur se font désormais par la voie maritime. En revanche, c’est avec la conquête par les nationalistes des régions frontalières avec le Portugal et la victoire de Franco en 1939 que cette frontière entre dans l’histoire de la résistance espagnole, notamment avec l’action des guérillas en Galice. Par la suite, la zone frontalière devient moins présente dans les stratégies de lutte des oppositions espagnole et portugaise, mais elle ne jouera pas moins un rôle dans la résistance aux deux dictatures ibériques.
   
La journée d’études se propose de réfléchir sur le rôle de la frontière dans la structuration des oppositions portugaise et espagnole et la place que la région frontalière a joué dans la résistance à Salazar et à Franco, tant à partir de l’espace espagnol que du territoire portugais. La résistance à la dictature assumant des formes multiples (armée, passive…), elle se traduit par des actions individuelles ou collectives et se croise avec des  logiques locales, des réseaux familiaux ou villageois, qu’il importante de relever et d’étudier dans une approche multidisciplinaire.
Envoyer les propositions avant le 30 juin 2015 (titre et résumé de 300 mots env.) à Cristina Climaco: cristina.climaco@orange.fr

XI Congreso de la ADEH, Cádiz 22-24 de junio de 2016

XI Congreso de la ADEH, Cádiz 22-24 de junio de 2016
XI Congresso ADEH, Cádiz 22-24 de junho de 2016 
 

Los Congresos de la ADEH se celebran cada tres años. El XI Congreso de la Asociación de Demografía Histórica será coorganizado por el Grupo de Estudios de Historia Actual, de la Facultad de Filosofía y Letras de la Universidad de Cádiz, dirigido por el comité científico del congreso y la coordinación local del profesor Julio Pérez Serrano. El Congreso tendrá lugar los días 22, 23 y 24 de junio de 2016.
El Congreso se estructurará, como ha ocurrido en pasadas ediciones, en sesiones paralelas que serán el auténtico corazón del Congreso, tal como se ha venido demostrando en los últimos años. Estas sesiones permiten un debate más profundo y ayudan a cumplir los objetivos de la Asociación de presentar y debatir temas que se están investigando en la actualidad
Las ponencias que se presenten a las sesiones serán puestas a disposición de los asistentes al Congreso y público en general a través de la página web del Congreso. Se anima a los organizadores de sesiones, o a los propios ponentes que lo estimen oportuno, a mandar sus contribuciones al Consejo Editorial de la Revista de Demografía Histórica, donde, previo proceso de evaluación externa, tendrán cabida las contribuciones o trabajos de mayor calidad.

Calendario del congreso

Organización

Formulario para la presentación de propuestas de sesiones para el XI Congreso de la ADEH

Formulario de inscripción como socio en la ADEH

Normas editoriales de la Revista de Demografía Histórica para la presentación de ponencias

Documentos e instrucciones

Contacto

XI Coloquio Internacional «Tradición y Modernidad en el Mundo Iberoamericano»

XI COLOQUIO INTERNACIONAL TRADIÇÃO E MODERNIDADE NO MUNDO IBERO-AMERICANO
Rio de Janeiro, 24-26 de Noviembre de 2015 
Universidade do Estado do Rio de Janeiro

El Grpesq/CNPq Intelectuais e Poder no Mundo Iberoamericano (Universidade do Estado do Rio de Janeiro), el Grpesq/ CNPq/UERJ “Intelectuais, Sociedade e Política” el CEIS-20 (Universidade de Coimbra), junto con la Asociación de Historia Actual (AHA), el Grupo de Estudios de Historia Actual (GEHA) de la Universidad de Cádiz y el Centre de Recherches Ibériques et Ibéro-Américaines (CRIIA) de la Université Paris Ouest-Nanterre, se complacen en invitar a todos los interesados a enviar propuestas de Simposios para el XI Coloquio Internacional Tradición y Modernidad en el Mundo Iberoamericano, que se celebrará en Río de Janeiro del 24 al 26 de noviembre de 2015, cuya principal línea de trabajo será el proceso de modernización en los campo político, social, económico y cultural en Iberoamérica.

1. Las propuestas de Comunicaciones deberán enviarse hasta el 10 de julio de 2015

2. Los resúmenes de las propuestas de comunicaciones deberán contener las siguientes informaciones:
– Título del trabajo que será presentado.
– Resumen del trabajo en Times 12 espacio simple conteniendo hasta 200 palabras.
– Filiación institucional.
– Principales publicaciones de los últimos 5 años.
– No serán aceptados trabajos de alumnos de grado.

3. Los coordinadores de los distintos Simposios serán los responsables de su organización y de la selección de las comunicaciones.
La lista de las comunicaciones aceptadas deberá ser enviada a la organización general hasta el día 20 de julio de 2015.

4. Las tasas de inscripción al Congreso serán las siguientes:
* Coordinador de Simposio:
– R$ 100,00 reales o equivalente en dólares para pagos hechos hasta el día 30 de julio de 2015.
– R$ 150,00 reales o equivalente en dólares para pagos hechos hasta el día 15 de septiembre de 2015.
* Comunicantes a los diferentes Simposios:
– R$ 280,00 reales o equivalente en dólares para pagos hechos hasta el día 30 de julio de 2015.
– R$ 350,00 reales o equivalente en dólares para pagos hechos hasta el día 15 de septiembre de 2015.
* La inscripción en el Congreso se realizará a través del sistema Paypal – dirigida al email coloquio.trad.modernidade@gmail.com
– Después del 15 de septiembre de 2015 no será posible realizar el pago de la inscripción al Coloquio.

Para resolver cualquier duda pueden dirigirse a: coloquio.trad.modernidade@gmail.com

Simpósio nº 1, Intelectuais, Educação e Projetos Nacionais: Tradição e Modernidade no Mundo Ibero-Americano ( séculos XVIII-XX)

Coordenadores:
Profª Drª Adir da Luz Almeida (FFP/Universidade do Estado do Rio de Janeiro/UERJ) adirluz@gmail.com
Prof. Dr. Washington Dener dos Santos Cunha (Fac.Educação/Universidade do Estado do Rio de Janeiro/UERJ e Unigranrio) wdener@uol.com.br

Pesquisas sobre intelectuais estiveram por algum tempo no “limbo” dos trabalhos historiográficos. Jean- François Sirinelli ao estudar a trajetória, a rede de sociabilidade da geração francesa entre-guerras, aborda a delicadeza dessa temática na historiografia. Sirinelli chega a dizer que o lugar da história dos intelectuais é “o ângulo morto”. Dentro de projetos educacionais do século XVIII ao XX, os intelectuais, com diversas formações e concepções diferenciadas para construção de um ideal de “nação moderna”, tinham como perspectiva central que a sociedade, em geral, aceitasse que, a partir da capital, projetos sociais e educacionais sob a lente do avanço civilizador. O “avanço civilizador”, dentro da representação circulante no período, tem como sentido retirar a nação do que era considerado “obscurantismo”; “crenças irracionais”. Assim, a proposta deste simpósio tem como objetivos acolher, apresentar e debater  trabalhos que possam contribuir com um dos temas propostos pelo Colóquio Tradição e Modernidade, no caso, o tema Intelectuais e Projetos Nacionais tendo como vetor a Educação.

Simpósio nº 2, Leituras sobre as relações entre os pactos politicamente construídos e a experiência vivida no mundo ibérico

Coordenadores:
Profª Drª Ana Nemi- (Deptº de História/ Universidade Federal de São Paulo- UNIFESP, ana.nemi@unifesp.br
Prof. Dr. Rafael Ruiz (Deptº de istória/Universidade Federal de São Paulo- UNIFESP, rafarui@hotmail.com

O mundo moderno alterou os sentidos das soberanias pactuadas localmente que caracterizavam o mundo do Antigo Regime. As comunidades urbanas e rurais, as corporações de ofício e de religião, assim como as casas e famílias, com seus costumes e jurisdições próprios, que ofereciam identidade aos seus membros e aos seus lugares, foram, a partir dos séculos XVII e XVIII, sendo substituídos por novos princípios de legitimação da ordem social e política e por novas formas de sociabilidade emblemadas nas noções de soberania, igualdade perante a lei, propriedade privada, nação e indivíduo. Esses novos princípios enraizaram-se no século XIX e fundamentaram o mundo dos pactos políticos que conhecemos hoje. Trata-se, especialmente, de contestar os conteúdos de imutabilidade e sacralidade das instituições jurídicas, ideológicas e sociais do Antigo Regime e, neste sentido, de propor a possibilidade de elaboração de pactos políticos a partir de projetos fundados na ideia de soberania nacional. Os sentidos locais, costumeiros e sagrados de legitimação das instituições seriam substituídos pela definição da vontade soberana do conjunto da nação. Tal inflexão pode ser notada nas discussões que problematizavam sociedades inscritas em lugares e costumes específicos, em relação às definições de natureza humana fundada nas ideias de igualdade e de liberdade em seus sentidos universais.
Trata-se, no limite, da inscrição da noção de progresso na história dos povos e, por consequência, da proposição de processos de constitucionalização que, ao longo do século XIX, e assim até os dias de hoje, pretenderam estabelecer pactos que indicassem os caminhos de consecução do mundo ideal que se queria edificar. Se a liberdade era conteúdo da natureza humana, as normas, pactos e leis que definissem as possibilidades de vida dos homens, também deveriam ter sentidos universais. Neste novo mundo dos pactos e contratos no qual vivemos até hoje, não haveria espaço para probabilismos ou possibilidades, para circunstâncias concretas ou singularidades, a lei indicaria o caminho da experiência, de forma geral e universal, igual para todos.
Este simpósio pretende discutir as tensões resultantes dessas alterações, assim como diversas interpretações possíveis desse processo, em diferentes circunstâncias do mundo ibérico. Desta forma, o texto literário, o discurso político, a escrita em periódicos, os relatos e itinerários pessoais, entre a norma pactuada politicamente e a experiência vivida, poderão ser aqui abordados. Espera-se destacar a pluralidade de leituras e de interpretações das relações que se estabeleceram entre norma e experiência na modernidade ibérica.

Simpósio nº 3, Intelectuais, Ciência e Modernidade no Brasil (1870-1950)

Coordenadores:
Profª Drª –Karoline Carula (Depto de História/Universidade do Estado do Rio de Janeiro- UERJ/Universidade Salgado de Oliveira) karolinecarula@yahoo.com.br
Prof. Dr. Rogério Monteiro de Siqueira, rogerioms@yahoo.com
Profª Drª Maria Letícia Corrêa (FFP/Universidade do Estado do Rio de Janeiro/UERJ) leticiacorrea@globo.com

O simpósio visa reunir pesquisadores de diferentes instituições de ensino e pesquisa que se dediquem ao estudo das relações entre intelectuais, ciência e modernidade no Brasil, por meio do acolhimento de comunicações de pesquisas originais e contribuições teórico-metodológicas.
As discussões serão delimitadas pelo período de 1870 a 1950, no qual se assistiu à reinserção do país na modernidade capitalista associada ao importante conjunto de inovações científicas, técnicas e tecnológicas que caracterizou a chamada “Segunda Revolução Industrial” e também à continuidade do processo que deu forma aos diferentes campos das ciências humanas e sociais, através, sobretudo, do fortalecimento do debate em torno das correntes cientificistas.
Nesse contexto, intelectuais e políticos brasileiros voltados à reflexão sobre as bases da nacionalidade tiveram como inspiração a leitura e a apropriação de categorias e proposições enunciadas por autores vinculados ao evolucionismo e ao darwinismo social, ao positivismo de Augusto Comte e seus seguidores e às teorias raciais, entre outras correntes.
Serão privilegiados estudos tendo por objeto os processos de formação, as redes de interlocução e sociabilidade e os espaços e modos de atuação das diversas categorias de intelectuais que intervieram no debate sobre ciência – médicos, sanitaristas, engenheiros, urbanistas, geógrafos, historiadores, entre outros –, bem como as representações associadas às suas práticas e produção discursiva. Por fim, serão consideradas trajetórias de intelectuais que, por força de suas respectivas práticas e inserção no campo científico, se engajaram na formulação de políticas públicas e em movimentos políticos e sociais, colaborando na conformação de identidades profissionais, de classe e nacionais. Ressalta, nesse aspecto, a validade da discussão de contribuições teórico-metodológicas voltadas à análise do tema do engajamento e da atuação política dos intelectuais.
Serão privilegiadas as seguintes temáticas e problemáticas: 1. Questões teórico-metodológicas em torno da categoria de intelectuais; 2. Intelectuais, ciência e modernidade no Brasil; 3. Intelectuais, ciência e nação; 4. Pensamento social brasileiro; e 5. Intelectuais, modernidades e modernizações.

Simpósio nº 4, A Arquitetura entre a tradição e a modernidade no mundo ibero-americano

Coordenadores:
Prof. Dr. João Henrique dos Santos –Departamento de História e Teoria da Faculdade de Arquitetura da UFRJ. joaohenrique@fau.ufrj.br
Profª Drª Maria Clara Amado Martins –Departamento de História e Teoria da Faculdade de Arquitetura da UFRJ. mariaclaraamado@gmail.com

As fortes tensões entre a tradição e a modernidade, suas continuidades e rupturas, manifestaram-se de forma bastante forte no campo arquitetônico. De modo especial, do meio-oeste dos EUA à América do Sul, buscava-se uma definição de identidade nacional, ora voltando-se ao passado colonial, ora rompendo com ele. Antecede o momento do nascimento do modernismo e do movimento moderno. Também na Península Ibérica, as crises políticas foram pano de fundo para a manifestação dessas tensões entre tradição e modernidade.

Simpósio nº 5, Lugares e leituras do romance moderno no mundo ibero-americano: séculos XVIII e XIX

Coordenadores:
Profª DrªMaria Eulália Ramicelli  (Universidade Federal de Santa Maria- UFSM) meulalia@uol.com.br ; meramicelli@hotmail.com
Profª Drª Maria Lúcia Dias Mendes (Universidade Federal de São Paulo- UNIFESP) mldm@uol.com.br

O romance ocidental é uma forma narrativa moderna criada no contexto europeu a fim de dar conta de uma nova concepção e organização da vida em sociedade a partir do complexo ideário burguês. A partir do final do século XVIII, a Inglaterra e, depois, a França, em particular, aparecem como as grandes potências disseminadoras desse novo gênero, espalhando seus romances de sucesso por várias partes do mundo. Esses romances, tão enraizados nas questões de seu tempo, expressavam profundamente a mentalidade e o modo de vida burguês. Por meio de sua circulação dentro e fora da Europa, os romances europeus setecentistas e oitocentistas tanto promoveram a construção de uma comunidade transnacional de leitores em torno de um novo gosto comum como provocaram mudanças marcantes nos hábitos e práticas de leitura. Nos países ibero-americanos, as novas maneiras de publicação, de circulação e de leitura, que integraram o contexto de produção de romance, foram parte de um processo de criação e consolidação de um campo literário. Por conseguinte, este simpósio pretende refletir sobre meios diversos que fizeram do romance uma forma literária conhecida pelos ibero-americanos a partir do século XVIII, quando começa a ser produzido sistematicamente. Como sugestão de abordagem dessa questão, podemos pensar na formação de acervos (particulares e de instituições públicas ou privadas), na tradução de romances, na publicação de romances europeus em diversos formatos (livros ou em periódicos), na recepção pelos críticos do romance moderno, na atuação de outros agentes como editores e livreiros.

Simpósio nº 6, O campo político ibero-americano e as propostas de superação de crise ao longo da época contemporânea            

Coordenadores:
Prof.ª Dr.ª Fabiana Saboia Santos Navarro (UFRRJ) – Pós- Doutoramento Capes- fabiana.saboia@gmail.com
Mestre Eliana Brites Rosa (ICS-ULisboa) – Doutoramento Interuniversitário em História – PIUDHist, eliana.rosa@ics.ulisboa.pt

O simpósio convida a comunidade historiográfica a participar com reflexões críticas e atuais sobre o papel dos intelectuais, dos políticos e das organizações políticas (partidos e movimentos) na construção de propostas para a superação das crises que assolaram o Ocidente, de uma forma geral, e o mundo ibero-americano, de uma forma particular, durante a época contemporânea. Pretendemos com esta iniciativa analisar e discutir trabalhos com a finalidade de criar um espaço de debate sobre as ideias políticas, económicas, culturais e sociais produzidas em conjunturas de crise desde o século XIX aos nossos dias.

Simpósio nº 7, Cultura escrita no império luso-brasileiro: manuscritos e impressos entre as descontinuidades da tradição e da modernidade

Coordenadores:
Profª Dra. Juliana Gesuelli Meirelles – PUC-Campinas  jugmeirelles@gmail.com
Profª Dra. Adriana Angelita da Conceição – Pós-Doc-  UNICAMP-FAPESP adrianaangelitac@yahoo.com.br

As perspectivas teóricas e metodológicas da história social da cultura escrita têm se constituído como um campo privilegiado de debate acadêmico, no qual podemos incluir diversos estudos sobre o império luso-brasileiro. Diante disto, este Simpósio Temático visa debater pesquisas que problematizem a formação e a manutenção do império português através da circulação da informação escrita tanto na forma manuscrita quanto impressa. Neste sentido, propomos uma reflexão acerca da conformação da cultura escrita nos processos de modernização do pensamento político e cultural luso-brasileiro, tendo em vista que a escrita manuscrita e impressa ocupou espaços balizados também pelo binômio tradição-modernidade. Pelo viés da tradição das monarquias absolutistas europeias no universo da cultura escrita, a atividade censória emerge como um importante viés de análise: particularmente em Portugal, a criação da Real Mesa Censória, em 1768, que transferiu para o estado a responsabilidade que era de cunho religioso é um fato histórico significativo para ponderarmos, por exemplo, os desdobramentos políticos e culturais na sociedade luso-brasileira, embora a censura não seja um viés exclusivo das profundas transformações ocorridas em Portugal entre o final do século XVIII e início do século XIX.  Em 1820, a Revolução do Porto elegeu a liberdade de imprensa e o fim da censura dos impressos como uma das mais destacadas bandeiras, o que também já prenunciava a consolidação de valores fundamentais da modernidade política que se iniciou com a Revolução Francesa. Essas discussões atingiram ambos os lados do Atlântico, sendo percebidas através das produções impressas que conquistaram um espaço importante nas discussões políticas ocorridas na esfera pública do período, sem que os manuscritos deixassem de fazer parte das práticas cotidianas de circulação da informação, sobretudo, por meio das práticas epistolares. Assim, ao investigarmos as práticas de escrita do império luso-brasileiro, entre as redes de circulação de manuscritos e impressos, como objeto de análise, é possível ponderamos pertinentes questões atreladas às descontinuidades da tradição e da modernidade, entre relações de saber e poder.

Simpósio nº 8,  Laicização da sociedade, leis de separação do estado das igrejas, e escola pública

Coordenador:
Prof. Dr. Jorge Pais de Sousa (CEIS-20/ Universidade de Coimbra) jorgepaissousa@netcabo.pt

O simpósio aborda, em geral, o papel e a ação dos intelectuais na difusão das ideias do republicanismo, laicista e secularista, nos diferentes países ibero-americanos. Na especialidade pretende-se identificar, refletir e debater as condições de recepção, afirmação, e posterior consagração das ideias republicanas de matriz  laicista na legislação, nos textos constitucionais, e nas instituições dos diferentes estados e sociedades. Propõe-se que esta reflexão conjunta do processo de modernização incida, preferencialmente, sobre duas linhas fundamentais, as leis de separação do Estado das Igrejas, e a criação da escola pública, medidas que tendem a confinar a religião para a esfera do privado.
Constitui objetivo principal deste simpósio proceder à análise das influências doutrinárias estabelecidas, entre as “redes” de intelectuais e os partidos republicanos com vocação de poder. Paralelamente, procede-se ao aprofundamento teórico das fundamentações de carácter filosófico, político e sociológico, expressas nos mais diversos movimentos e iniciativas como foi a criação de escolas laicas, associações de registo civil, e de livre-pensamento, muitas vezes influenciadas pela maçonaria, e que se organizaram em congressos, publicaram livros, revistas, jornais, manifestos, etc.
Em termos cronológicos, as comunicações devem balizar-se, sobretudo, entre os finais do século XIX e o início do século XX.

Simpósio nº 9, Estudos Migratórios na América Latina: Identidades, fronteiras e novos enfoques na construção do «outro» (XIX e XX)

Coordenadoras:
Profa. Dra. Lená Medeiros de Menezes (UERJ) lenamenezes@hotmail.com
Profa. Dra. Érica Sarmiento (UERJ/ PPGH-mestrado-Universidade Salgado de Oliveira) erisarmiento@gmail.com

Nos últimos anos, os fenômenos migratórios têm merecido lugar de destaque nos ambientes acadêmicos com diferentes mudanças de enfoque nos modelos de análise, na metodologia e nas fontes utilizadas. Os fluxos migratórios deixaram de ser fenômenos sociais isolados, passando a ser entendidos também como um espaço de relações sociais ativo no processo de construção das sociedades receptoras e emissoras. O imaginário e a representação que a imagem do “outro” provoca no espaço que o acolhe, incita os pesquisadores a buscar novas indagações a respeito, por exemplo, da percepção do imigrante através da análise das políticas públicas (como a solução ou a causa dos problemas sociais) ou a inserção e a coexistência dos estrangeiros no espaço urbano a partir de estratégias étnicas ou defensivas, como o associativismo. No caso da América Latina, os estudos migratórios abrem um vasto caminho de discussão sobre os fluxos massivos que desembarcaram em países como Argentina, Brasil, Uruguai, Cuba, entre outros, a partir da segunda metade do século XX. O conhecimento dos grupos migratórios nessas sociedades constitui-se numa importante ferramenta na compreensão dos processos de integração sócio-cultural. O imigrante participou na construção das cidades, na elaboração do espaço urbano e também foi alvo dos discursos das políticas governamentais, para bem ou para mal, segundo o contexto histórico e as necessidades de cada momento. Como as migrações são fenômenos cíclicos, na contemporaneidade elas continuam a existir, seguindo as mudanças econômicas e o contínuo fluxo de ideias e de informação guiadas pela época da globalização.

Organizan:
Grpesq/CNPq Intelectuais e Poder no Mundo Iberoamericano (Universidade do Estado do Rio de Janeiro)
Grpesq/ CNPq/UERJ “Intelectuais, Sociedade e Política” el CEIS-20 (Universidade de Coimbra)

Colaboran:
Asociación de Historia Actual (AHA)
Grupo de Estudios de Historia Actual (GEHA) de la Universidad de Cádiz
Centre de Recherches Ibériques et Ibéro-Américaines (CRIIA) de la Université Paris Ouest-Nanterre

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